- W -

Type de réseau optique passif non standardisé, utilisant différentes longueurs d’ondes pour séparer les flux sur une même infrastructure physique.

Ensemble de protocoles de communication sans fil régis par les normes du groupe IEEE 802.11. Un réseau WiFi permet de relier sans fil plusieurs équipements électroniques (antennes, ordinateurs, téléphones, routeurs, décodeurs Internet, etc.) au sein d’un réseau de communications électroniques afin de permettre la transmission de données entre eux.

Label de certification d’interopérabilité entre équipements de différents fournisseurs de technologie de diffusion hertzienne soutenant le standard IEEE 802.16.

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- Z -

Les points de mutualisation en dehors des zones très denses se situent toujours hors de la propriété privée et regroupent les lignes à très haut débit en fibre optique d’immeubles bâtis. L’ensemble des immeubles bâtis reliés, effectivement ou potentiellement, à ce point de mutualisation, forme une zone géographique continue qui constitue la zone arrière d’un point de mutualisation.

Zone arrière de point de mutualisation sur laquelle un opérateur envisage de déployer à brève échéance du FttH. L’Arcep souhaite dans son projet de recommandation que des « travaux tangibles de déploiement » puissent être observés dans les 12 mois suivant la fin de la consultation.

Il s’agit des zones arrières de point de mutualisation (ZAPM) qui ne sont présentées par un opérateur que pour compléter la partition à une maille supérieure d’une ou plusieurs ZAPM cibles. Les différentes ZAPM doivent compter au total au moins 1 000 locaux voisins.

Zones réglementaires délimitées par l’Arcep pour les tarifs des offres de gros activées d’Orange sur le réseau cuivre à destination des professionnels. La zone cuivre 1 (ZC1) correspond à l’ensemble des zones arrières de NRA dégroupées, depuis au moins 7 ans, par au moins un opérateur tiers ; la zone cuivre 2 (ZC2) correspond aux zones arrières dégroupées depuis moins de 7 ans ; et la zone cuivre 3 (ZC3) correspond aux secteurs où Orange est le seul opérateur à proposer des offres bitstream cuivre spécifiques entreprises. En ZC1, le tarif est libre ; en ZC2, Orange doit pratiquer des tarifs de « non-éviction », et en ZC3, les tarifs d’Orange sont orientés vers les coûts. L’Arcep revoit le découpage de ces 3 zones annuellement.

Zones réglementaires délimitées par l’Arcep pour les tarifs des offres de gros activées d’Orange sur le réseau en fibre dédiée à destination des professionnels (FttO ou BLOD). En zone fibre optique dédiée 1 (ZF1), où la concurrence sur le marché professionnel a atteint un degré jugé satisfaisant par l’Arcep, les tarifs d’Orange sont libres. En ZF2, Orange doit pratiquer des tarifs de « non-éviction » en vue de permettre à un opérateur concurrent efficace de construire sa propre infrastructure ; le régulateur impose également une obligation de non-excessivité des tarifs là où la concurrence est quasi nulle.

Zone déclarée par au moins un opérateur privé dans le cadre de l’appel à manifestations d’intentions d’investir (AMII) de janvier 2011 par le Commissariat général à l’investissement (CGI).

Programme initié par Orange consistant à substituer la pose de cuivre par de la fibre dans les lotissements d’immeubles neufs.

Communes situées hors de la zone très dense (ZTD) définie par l’Arcep, où la mutualisation de la partie horizontale des réseaux FttH est recherchée par des mesures encadrant un accès ouvert à cette partie du réseau.

Il s’agit d’un des 4 niveaux d’évaluation détaillés dans les cartes de couverture sur l’outil cartographique monreseau.fr publiées par l’Arcep depuis mars 2017. Dans ces zones, selon l’observatoire de l’Arcep,

« vous devriez pouvoir téléphoner et échanger des SMS à l’extérieur des bâtiments dans la plupart des cas, mais probablement pas à l’intérieur des bâtiments ».

Zone de sous-répartiteur (ZSR) sans réseau de transport, pour laquelle le réseau de distribution est raccordé au répartiteur général d’abonnés situé dans l’enceinte de son NRA de rattachement.

Espace infra-communal habité situé en limite de plusieurs zones de déploiements (par exemple entre une zone AMII et une zone RIP ou entre deux zones RIP déployées par des collectivités différentes) pour lesquelles la desserte et le raccordement FttH des locaux peut être bien moins onéreux à réaliser depuis le réseau FttH d’un opérateur n’ayant initialement pas en charge le déploiement sur cette commune.

Statut qui peut être attribué pour des plaques FttH de bonne maturité (complétude des déploiements, qualité d’exploitation…) et permettant de déclencher des mesures devant théoriquement accélérer la migration du cuivre vers la fibre (aide au raccordement final, arrêt des nouveaux raccordements d’immeuble en cuivre…). Institué par l’article L. 33-11 du CPCE (loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques), ce statut a été modifié et complété par la loi pour une République numérique et a été précisé par l’arrêté du 6 décembre 2018. Le statut de zone fibrée est susceptible d’être obtenu « dès lors que l’établissement et l’exploitation d’un réseau en fibre optique ouvert à la mutualisation sont suffisamment avancés pour déclencher des mesures facilitant la transition vers le très haut débit » (décision de l’Arcep du 27 juillet 2017).

Zone géographique desservie par un seul répartiteur général d’abonnés.

Zone géographique desservie par un sous-répartiteur primaire ou une zone de distribution directe telle que décrite dans le système d’information de la boucle locale d’Orange.

Communes dont la liste est définie dans l’annexe I de la décision n° 2009-1106 du 22 décembre 2009 de l’Arcep, modifiée par la décision 2013-1475 du 10 décembre 2013. Elles sont définies comme les communes à forte concentration de population, pour lesquelles, sur une partie significative de leur territoire, il est économiquement viable pour plusieurs opérateurs de déployer leurs propres infrastructures, en l’occurrence leurs réseaux de fibre optique, au plus près des logements.