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Service de communication entre objets, ciblé au domaine professionnel.

Il s’agit des BTS les plus largement répandues en France. Les macro-cells ont une portée de 1 à 20 km environ, selon les fréquences utilisées et les obstacles – naturels ou non – présents à proximité.

Solution de type montée en débit consistant à réduire la longueur de cuivre de la ligne d’abonné en déployant de la fibre jusqu’au sous-répartiteur (SR). Cette solution nécessite l’installation d’un équipement actif au SR.

BTS de portée moyenne à faible, visant soit à mieux couvrir une zone plus réduite que celles visées par les macro-cells (hameau, site touristique, grand bâtiment…), soit à désaturer certaines zones (équipements sportifs, parcs d’activités, centres commerciaux…). L’implantation se fait sur des points hauts moins élevés que les macro-BTS, comme un bâtiment existant ou un mât plutôt qu’un pylône, voire en indoor pour certaines configurations. Très compactes, faiblement consommatrices d’énergie (absence de climatisation), ces BTS peuvent néanmoins délivrer du service à plusieurs centaines d’utilisateurs simultanément et couvrir quelques centaines de mètres à quelques kilomètres.

Au sein de l’Agence du Numérique, la Mission France Mobile est chargée de piloter et mettre en œuvre le dispositif « Couverture ciblée » du New Deal mobile, en faisant le lien avec les équipes projets locales qui identifient les sites à couvrir. Elle est également chargée de coordonner les sujets nationaux et de fournir l’appui technique et opérationnel aux équipes projets locales.

La Mission Société Numérique met en œuvre un programme d’action pour favoriser l’autonomie et la capacité de tous à saisir les opportunités du numérique et pour accompagner la transition des territoires. La Mission Société Numérique fait partie de l’Agence du Numérique.

Structure de pilotage national intérimaire du Plan France Très haut débit, en attente d’un éventuel établissement public qui associera des représentants des collectivités et des opérateurs. La Mission Très Haut Débit fait partie de l’Agence du Numérique.

Contrairement au raccordement en mode STOC, ce mode prévoit un raccordement et un brassage par l’OI.

Modèle ou contrat dans lequel l’opérateur d’immeuble (OI) sous-traite à l’opérateur commercial (OC) le raccordement du client final. Dans ce modèle, l’OI ne réalise pas le raccordement lui-même mais délègue le raccordement chez le client à l’OC via un contrat de sous-traitance. Ce contrat de sous-traitance porte sur le raccordement PBO-PTO et la pose de la PTO chez le client qui sont de la responsabilité de l’OI, ainsi que le test de la ligne du PM à la PTO. Le brassage au PM n’est pas compris dans le contrat de sous- traitance, mais il peut être également réalisé par l’OC, l’action étant dans ce cas de sa responsabilité. Le brassage au PM peut donc être réalisé par l’OC à tout moment, de façon synchrone avec le raccordement PBO-PTO ou non. En pratique, les OC synchronisent les deux actions quand ils doivent réaliser le brassage au PM en plus du raccordement PBO-PTO.

Injection des signaux DSL à la sous-boucle pour toutes les lignes du sous-répartiteur concerné sans contrainte technique particulière. Dans ce cas, l’activation des accès DSL de tous les abonnés en aval du sous-répartiteur ne se fait plus au NRA d’origine mais exclusivement au niveau du sous-répartiteur concerné.

Concept visant l’amélioration des accès haut débit en utilisant différentes technologies filaires (MeD, FttH, FttLA) ou hertziennes (WiFi, WiMAX, LTE, satellite).

Un opérateur de réseau mobile virtuel est un opérateur de téléphonie mobile qui, ne possédant pas de concession de spectre de fréquences ni d’infrastructure de réseau propre, contracte des accords avec les opérateurs mobiles possédant un réseau mobile (connus sous le sigle MNO, Mobile Network Operator) pour leur acheter un forfait d’utilisation et le revendre sous sa propre marque à ses clients.

Sigle désignant l’ensemble des familles d’outils de gestion d’équipement, d’application ou de contenu sur les outils nomades (MCM – Mobile Content Management / MDC – Mobile Device Management / MAM – Mobile Application Management).

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Dénomination usuelle d’un accord passé en janvier 2018 entre l’État et les opérateurs, sous l’égide de l’Arcep : les préoccupations d’aménagement du territoire sont mises en avant, en contrepartie d’un plafonnement du montant des redevances liées aux autorisations d’utilisation de fréquences. L’amélioration de l’accès aux services mobiles est construit autour de cinq opérations : généralisation de la 4G, couverture des principaux axes de transport, offres de service 4G fixe, accessibilité à l’intérieur des locaux, ainsi qu’un dispositif de couverture ciblée sur des secteurs priorisés par les collectivités locales.

Réseaux d’accès qui sont, en tout ou partie, en fibre optique et qui sont capables d’offrir des services d’accès à haut débit améliorés par rapport aux réseaux cuivre existants (notamment grâce à des débits supérieurs).

Service de contrôle des transactions, de la surveillance des incidents et de la charge d’un réseau.

Lieu où se terminent toutes les connexions entre le réseau téléphonique filaire et la terminaison cuivre vers le client (boucle locale).

NRA abritant le répartiteur général d’abonnés desservant la zone de sous-répartiteur (ZSR) concernée par la montée en débit.

Nouveau NRA mis en service dans le cadre de l’offre point de raccordement mutualisé (PRM) d’Orange.

Cette dénomination recouvre l’ensemble des nouveaux NRA installés par Orange suite à des opérations de réaménagement en mono-injection. À titre d’illustration, le NRA-ZO est la dénomination d’un NRA-xy installé pour couvrir une zone d’ombre du haut débit, c’est-à-dire une zone jusqu’alors inéligible au DSL.

Nouveau NRA mis en service dans le cadre de l’offre d’Orange pour la résorption des zones inéligibles au haut débit, permettant d’offrir aux clients finals un service haut débit lorsque ces derniers sont trop éloignés de leur NRA.

Point de concentration d’un réseau en fibre optique où sont installés les équipements actifs et passifs à partir desquels l’opérateur commercial active les accès de ses abonnés. Il peut être exploité par un opérateur d’infrastructure, qui proposera alors le plus souvent des prestations d’hébergement, voire de transport optique vers ce NRO.